Base de la rébellion, lieu inconnu, Alberta, Canada
18
janvier 2014
-Chef! Chef! Il arrive!
-Sors l'argent, mais attends avant de l'amener, dit Richard LeBlanc.
-Oui chef!
La voiture de Stéphane Berthelot entra dans la cour entourée de bâtiments sur 3 côtés, se stationna et fut immédiatement entourée de plusieurs gardes de La Rébellion. Deux d'entre eux empoignèrent la Présidente de la Canadian Petroleum Company (CPC), qui commençait à se réveiller, et l’emmenèrent à l'intérieur, suivis du tueur en série et des autres gardes. La prisonnière fut emmenée dans la salle qui servait de bureau à LeBlanc. Celui-ci était accompagné d'un de ses amis. Stéphane Bertelot entra à son tour. C'était une salle de taille moyenne, avec une table et quelques chaises.
-Voici ton argent, dit Richard en lui lançant une liasse de billets.
Stéphane prit le bras de la Présidente et lança:
-Ah oui, tu veux plus d'argent... Savais-tu qu'il y a de l'argent dans
les balles de fusil? répliqua-t-il avant de faire un signe de tête à son
garde.
Le ravisseur de la Présidente essuya son front plein de sueur, voulut reculée, mais la porte était bloquée. Le garde leva son fusil lentement avec un sourire cruel.
-AU SECOURS!!! hurla Bertelot.
-Crie toujours, les murs bloquent le son, dit le chef des bandits.
Son second visa et tira. PAN!
-Veuillez disposer, ordonna l'ignoble chef.
Le tueur prit le corps par le col, ouvrit la porte et sortit.
LeBlanc se retourna vers la Présidente en la tenant en joue avec un fusil.
-Mme la Présidente, où cachez-vous vos réserves de pétrole?
-Qu'est-ce que ça peut bien vous faire?
-Ça peut nous permettre de les détruire. Le pétrole est un des plus grands fléaux de la planète.
-Et pourquoi je vous le dirais?
-Si vous me le dites, vous allez sauver votre vie.
-Parce que vous voulez me tuer?
-Oui.
-Si vous me tuez, vous ne pourrez pas connaître la localisation de ces réserves.
-Faux. Vous n'êtes pas la seule personne qui connaît cet endroit.
-Qui va kidnapper un autre dirigeant de la CPC, si vous venez de tuer celui qui m'a enlevé.
-Je crois comprendre que vous ne voulez pas répondre. Vous préférez mourir?
-Oui, dit la présidente d'un ton catégorique.
-RÉPONDEZ! cria le cruel bandit en lui mettant son pistolet sur la tempe.
-Jamais de la vie!
L'extrémiste énervé reprit contrôle de ses émotions et dit d'un ton posé:
-Alors, vous préférez mourir?
-Eh bien... Je préfère... M'enfuir! dit-elle en lui prenant le poignet et en le plaquant au sol.
Elle lui fit lâcher son arme, mais il se dégagea d'un coup de pied bien placé. Il attacha la Présidente à une menotte accrochée à la table. Il ramassa son fusil. Cependant, il n'avait pas bien fermé la menotte et la Présidente se dégagea, mais il réagit assez rapidement et braqua son arme sur elle. Il l'obligea à se mettre dos au mur.
Soudain, la porte s'ouvrit brusquement, laissant entrer le second de Richard LeBlanc.
-On se fait attaquer, général!!! dit-il un peu tard.
PAN! Il s'écroula, abattu par-derrière.
La suite... ici!
Laissez vos avis et propositions en commentaire
Le ravisseur de la Présidente essuya son front plein de sueur, voulut reculée, mais la porte était bloquée. Le garde leva son fusil lentement avec un sourire cruel.
-AU SECOURS!!! hurla Bertelot.
-Crie toujours, les murs bloquent le son, dit le chef des bandits.
Son second visa et tira. PAN!
-Veuillez disposer, ordonna l'ignoble chef.
Le tueur prit le corps par le col, ouvrit la porte et sortit.
LeBlanc se retourna vers la Présidente en la tenant en joue avec un fusil.
-Mme la Présidente, où cachez-vous vos réserves de pétrole?
-Qu'est-ce que ça peut bien vous faire?
-Ça peut nous permettre de les détruire. Le pétrole est un des plus grands fléaux de la planète.
-Et pourquoi je vous le dirais?
-Si vous me le dites, vous allez sauver votre vie.
-Parce que vous voulez me tuer?
-Oui.
-Si vous me tuez, vous ne pourrez pas connaître la localisation de ces réserves.
-Faux. Vous n'êtes pas la seule personne qui connaît cet endroit.
-Qui va kidnapper un autre dirigeant de la CPC, si vous venez de tuer celui qui m'a enlevé.
-Je crois comprendre que vous ne voulez pas répondre. Vous préférez mourir?
-Oui, dit la présidente d'un ton catégorique.
-RÉPONDEZ! cria le cruel bandit en lui mettant son pistolet sur la tempe.
-Jamais de la vie!
L'extrémiste énervé reprit contrôle de ses émotions et dit d'un ton posé:
-Alors, vous préférez mourir?
-Eh bien... Je préfère... M'enfuir! dit-elle en lui prenant le poignet et en le plaquant au sol.
Elle lui fit lâcher son arme, mais il se dégagea d'un coup de pied bien placé. Il attacha la Présidente à une menotte accrochée à la table. Il ramassa son fusil. Cependant, il n'avait pas bien fermé la menotte et la Présidente se dégagea, mais il réagit assez rapidement et braqua son arme sur elle. Il l'obligea à se mettre dos au mur.
Soudain, la porte s'ouvrit brusquement, laissant entrer le second de Richard LeBlanc.
-On se fait attaquer, général!!! dit-il un peu tard.
PAN! Il s'écroula, abattu par-derrière.
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